La Délégation de la Drôme poursuit son œuvre, dans ce village égaré du sud-Cameroun dépourvu d'eau potable, d'électricité, de téléphone et à l'écart des voies de communication. Les habitants, qui parlent bulu, comprennent mal le français et le parlent encore moins bien, ce qui rend indispensable le concours d'interprètes. Dans une précédente lettre,